Très souvent, pour ne pas dire tout le temps, quand je marche dans les rues de Paris, c’est avec un appareil photo à la main. Essentiellement pour ma série M35. Je déclenche, sous les regards des passants, ce sont « mes » parisiens, mes passagers de l’instant… D’ordinaire, ceux que je croisent ne voient rien, et même quand ils voient l’appareil, ma discrétion fait rarement défaut. Bref, je n’ai jamais eu de problème. Sauf que ce midi, alors que je n’avais même pas déclenché, deux types m’ont arrêter plutôt brusquement, en me demandant la pelloche. Étant « innocent » cette fois ci, je n’ai rien cédé. Menaces et insultes… J’ai perdu mon calme, j’ai moi aussi haussé le ton, une dizaine de passants étaient là, prets à me porter leur aide, ils y avaient du monde, ils ont lâché l’affaire, je suis parti… Sans remercier vraiment les deux personnes qui sont intervenus… L’ironie, est que l’une de ces personnes était un cycliste que je venais de prendre en photo au carrefour précédent… Merci mes passagers…
… avoir envie de ne pas rester là à compter les heures et prendre l’air d’un Paris qui ne se couche pas. Retrouver ma boulimie photographique, par n’importe quel moyen…
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ARCHIVES d’avant La Photo du Jour.
Bordeaux, Place Pey Berland, Janvier 1998
PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
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ARCHIVES d’avant La Photo du Jour.
Mars 1996, (quelque part?) Pyrénées.
PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
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ARCHIVES d’avant La Photo du Jour.
Long week-end au ski avec les amis des éclés.
Mars 1996, Bordeaux.
PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.