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Rue de Solférino
Olivier FAURE, nouveau Premier secretaire du Parti Socialiste Francais (PS), pose devant des lettres geantes « PS » pour un portrait, au siege du PS (Rue de Solferino), a Paris, France, le 30 Mars 2018. En attendant la conférence de presse du Séminaire de rentrée du PS, au Siege du Parti Socialiste Francais, Rue de Solferino, Paris, France, le 27 Aout 2017. Jean-Christophe CAMBADELIS (Premier secretaire du Parti socialiste Francais), s’est exprime au sujet des « primaires citoyennes » (Primaires de la gauche pour l’election presidentielle Francaise de 2017) lors d’une conference de presse au siege du PS, Rue de Solferino, Paris, France, le 8 decembre 2016. Discours de Jean-Christophe CAMBADELIS, premier secrétaire du Parti Socialiste (PS), au siège du parti, Rue de Solferino, Paris, France, après les résultats du 1er tour des élections régionales. Le 6 Décembre 2015. Plus de 250.000 personnes ont participé au référendum du PS sur l’unité de la gauche aux régionales, près de 90% d’entre elles votant « oui », selon les estimations provisoires dévoilées dimanche soir, au siège du Parti Socialiste, par le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadelis. Rue de Solferino, Paris, France, le 18 Octobre 2015. Conférence de presse de Emmanuelle COSSE (secrétaire nationale d’Europe Ecologie-Les Verts EELV), avec Jean-Vincent Placé (sénateur EELV), Barbara Pompili et Francois de Rugy, au siege du Parti Socialiste (PS), rue de Solférino. Note perso : Cour de Solférino, bataille de place au dernier moment pour savoir qui sera placé le plus près. Mais le César du « Dieu-sur-la-Montagne » est décerné à ce journaliste-de-suffisance avec son sticker Europe1. Marcher sur la gueule de ceux placés avant lui, bloquer le champ, poser comme un chasseur avec son lapin à coté de Cambadélis, l’entendre parler fort, tres fort, au téléphone… Assez pour que tout Solférino puisse bien comprendre qu’il était tres important, qu’il réclamait immédiatement une moto devant les portes de Solfé, parce que ici « c’était mort », que y’avait plus rien à y faire…
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