Note perso : Cour de Solférino, bataille de place au dernier moment pour savoir qui sera placé le plus près. Mais le César du « Dieu-sur-la-Montagne » est décerné à ce journaliste-de-suffisance avec son sticker Europe1. Marcher sur la gueule de ceux placés avant lui, bloquer le champ, poser comme un chasseur avec son lapin à coté de Cambadélis, l’entendre parler fort, tres fort, au téléphone… Assez pour que tout Solférino puisse bien comprendre qu’il était tres important, qu’il réclamait immédiatement une moto devant les portes de Solfé, parce que ici « c’était mort », que y’avait plus rien à y faire… Peut-être est-il un bon journaliste? Peut-être… Mais j’en ai rien à secouer, car au quotidien on encaisse les remarques déplaisantes sur ce métier que ce genre de demi-dieu autoproclamé, véhicule par sa seule présence. Cette image de merde que le « journaliste » crois tout savoir sur tout, méprisant le petit, le moyen et les autres peuples. celui qui te fout dans la gueule sans te le dire que tu dois resté à ta place, mais si tu sais bien, ces places en bas, loin de son sommet de prétention. Je sais pas qui il est. Mais maintenant, en tout cas pour moi, je sais ce qu’il est.
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