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migrants
Seance des Questions d’actualite au Gouvernement, Palais Bourbon, Assemblee Nationale, Paris, France, le 26 Juin 2018. Manifestation contre la loi asile-immigration portée par le Ministre de l’Intérieur Gérard Collomb : Les participants a la marche Vintimille-Calais-Londres, initiee par « l Auberge des migrants » et « La Roya citoyenne », font etape a Paris du 17 au 21 juin. Paris, France, le 17 Juin 2018. Rassemblement d’un collectif d’elus et de d’habitant du quartier, demandant une evolution rapide et digne de la question de l’attente des refugies devant le PADA du boulevard de la Villette a Paris. Pour la 18eme fois depuis juin 2015, un campement de refugies a ete evacue, à Paris, France, le 30 Mars 2016. Des centaines de personnes qui etaient installées sous le metro aerien au niveau de la station de metro Stalingrad ont eté expulsees par la police. Des bus les ont transporter vers des structures d’hebergement, en région parisienne ou en province, ou ils seront accueillis pendant un mois, afin de leur donner le temps de commencer leurs demarches de demandes d’asile, selon la prefecture de police de Paris. Des réfugiés, originaires du Kurdistan Irakien, se réchauffent autour d’un feu improvisé, dans le nouveau Camp de La Liniere de Grande-Synthe. Ce camp a été construit sur le site d’une ancienne coopérative de transformation du lin à Grande-Synthe, près de Dunkerque (Nord), il est aussi le seul et le premier camp de réfugies aux normes internationales sur le sol francais. Il peut acceuillir jusque 2500 personnes. Les dernières cabanes de la zone sud de la « jungle » de Calais, ont été enlevées le 16 mars après-midi. Sur cette zone de 7,5 hectares, vivaient plus d’un millier de réfugiés. Ancienne école du Camp de réfugiés de Grande-Synthe. 7 mars 2016 : Plusieurs centaines d’habitants et de commercants de Calais et ses environs se sont rassemblés lundi à Paris, devant le ministère de l’Economie (Bercy) avant d’être reçus à l’Elysée. Ils demandent à ce que le Calaisis, par où transitent des centaines de migrants, soit reconnu « en état de catastrophe économique exceptionnelle ». Ils demandent, en plus de l’évacuation totale de la « Jungle », des aides pour redresser l’économie et l’image touristique de la région. 4 Mars 2016 : Rassemblement et manifestation pour les Migrants, à Paris, au départ de la Gare du Nord jusqu’à la Place de la République, contre le traitement des réfugiés dans le Nord de la France, notamment à Calais. Sister Lika, Dominican religious refugees in Erbil in Iraq. 23 Janvier 2016 : Campement des migrants de Calais (62), appelle aussi « La Jungle ». La météo hivernale et la pluie, rendant presque insupportables, les conditions de survie pour les 5000 réfugiés. Calais (62), FRANCE. 11 Janvier 2016 : Dans la banlieue de Dunkerque, dans le Nord (59), le camp du Basroch rassemble plus de 2500 migrants dans des conditions difficiles. Parmi eux, deux cents enfants, en majorité kurdes, vivent dans la boue, car le terrain est extrêmement marécageux. A l’entrée, un panneau pose par la mairie proclame «Eco-quartier du Basroch, 500 logements à partir de 2015». Grande-Synthe (Nord-59), France. Notes persos : L’humanité racle le bas en créant l’inacceptable, digne d’un moyen-age oublié. Des enfants, des très très jeunes enfants, dans 30 cm de boue, le froid, la pluie, et sans doute aussi, la misère sociale, le manque de dignité, de moments détachés par des choses légères. Une déchéance créée par la France et l’Angleterre. Ca me ronge l’ame et le coeur, et je n’ai fait que prendre des photos, en m’abritant derrière mon travail. Si seulement ça pouvait faire bouger des lignes… 10 Janvier 2016 : Campement des migrants de Calais (62), appelle aussi « La Jungle ». Devant les conditions déplorables à cause de l’hiver des intempéries, la mairie de Calais a fait installé des logement préfabriqués d’urgences (containers aménagés) pour 1500 places pour 5000 migrants. Stéphane, Xavier et Yeki, un des jeunes migrants de La Chapelle. Onze jours après leur première expulsion, les « migrants de La Chapelle » se sont installés près du jardin d’Eole, dans le 18e arrondissement de Paris. Ils sont nombreux (environ 150) à être revenus dans ce campement, fait de bache et de matelas posés sur le sol. Plusieurs associations, riverains et commerçant se sont relayés toute la journée pour leur fournir des repas, des vetements, des soins élémentaires, ainsi que la construction de toilettes seches. Parfois de rares moment de détentes sont venus rompre leur ennui (jeux de ballon, skateboard, cours de francais).
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