Notes: Le Comité de la Flamme, malgré mon accréditation du Ministère de la Défense, a refusé que je prenne des photos du ravivement de la flamme. J’ai été cantonné derrière un cordon, dans un angle mort d’un pied de l’Arc de Triomphe. Tout ça pour des raisons sanitaires. Il était donc préférable de serrer 6 journalistes sur 2m2, pendant ce temps, les photographes des SIRPAs, du comité de la flamme, des anciens combattants, et que sais-je encore, ont filmé, et photographié. La dureté et l’intolérance croissante pour les accès des journalistes, sont une plaie. Une plaie pour la Liberté. Je commence à être lassé de ces conneries autoritaires, à sens unique. J’ai donc fait des photos d’ambiance, et je suis parti. Liberté, on ne peut même plus écrire ton nom, ils ont même bouffé l’encre de nos stylos.