|
arbre
Emmanuel MACRON (President de la Republique Francaise) a preside les ceremonies d’hommages aux victimes des attentats de Paris du 13 Novembre 2015 (dit aussi, « attentat du Bataclan »). Une gerbe de fleurs a ete depose devant chaque plaque commemorative, suivi de l’enonciation des victimes et d’une minute de silence. Ici, la septieme et derniere sequence, devant la Mairie du 11eme arrondissement, avec le Maire de Paris, Anne HIDALGO, Manuel VALLS, Francois HOLLANDE, Brigitte MACRON. Paris, France, le 13 Novembre 2017. Notes personnelles : Deux années, mais je n’ai pas oublié cette nuit là. Tout dépassa la définition du vocabulaire utilisé. Tout était déjà trop avant même de savoir que ce n’était pas fini. Je me souviens aussi que ce fut la dernière fois que j’ai senti l’esprit de la nation tout entière, mélangée et colorée, derrière son drapeau et ses attributs. Les autres tragédies, les innombrables victimes cumulées des attentats suivant ont banalisé, et dilué ce qu’on avait appelé encore plus tôt, l’Esprit de Charlie. Bernard CAZENEUVE, Premier ministre Francais, a procede a la plantation de » l’arbre du Premier ministre « , comme le veut la tradition republicaine initiee par Raymond BARRE, le 22 Mars 2017. Il a choisi un magnolia de Kobe, originaire du Japon. Cet arbre est situe sur la grande pelouse de Matignon, sur la partie du jardin la plus contemporaine dessinee par Achille Duchene au début du XXe siecle. Paris, France. Le premier ministre, Manuel Valls, accompagné de sa femme et des jardiniers de l’Hotel de Matignon, a planté, le 15 decembre, l’arbre dit « du Premier ministre ». Cette tradition a été initiée par le Premier ministre Raymond Barre en 1978. Le Chêne fastigié, choisi par le Premier ministre, sera situé sur la grande pelouse de réception, dessinée par Achille Duchêne au début du XXème siècle pour l’Hôtel de Matignon. Cet arbre participera au renouvellement des arbres du parc de l’Hôtel de Matignon. >>>> Retour vers le Futur. Avec le recul, je suis surtptis par l’énorme vide de mes photos. Bien sur je ne ferais pas ça aujourd’hui, mais je ne comprends parfois pas beaucoup celui que j’étais avant. 🙂 Janvier 1996, Bourg sur Gironde. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
Je me suis obstiné, des semaines, des mois, sans avoir touché l’appareil. Rien à en faire non plus. C’est ce que je croyais. Mais une fois le moi de Mai arrivé, je repense à cette histoire de trace, de saison, de figer le Monde. La prof d’Arts Plastiques n’a plus jamais parlé de cet histoire d’instantané de la nature, de conservation de traces, des saisons qui passent… J’ai mal compris. Encore. Elle n’en avait rien à faire de mes photos d’arbres, de chemins, de verdures moches ou très moches.
La prof d’arts plastique, collège Emmanuel Dupaty de Blanquefort, nous a demandé d’observer la nature, les saisons qui changent. Qu’il fallait être curieux comme un photoreporter, que rien ne puisse nous échapper.
|
|
|
|||||||||||||
Ces photos et textes ne sont pas libres de droits. Toutes utilisations ou reproductions non autorisées sont absolument interdites. - nicolas messyasz © 1997-
1988 - tous droits réservés |
|||||||||||||
|