Notes personnelles : Deux années, mais je n’ai pas oublié cette nuit là. Tout dépassa la définition du vocabulaire utilisé. Tout était déjà trop avant même de savoir que ce n’était pas fini. Je me souviens aussi que ce fut la dernière fois que j’ai senti l’esprit de la nation tout entière, mélangée et colorée, derrière son drapeau et ses attributs. Les autres tragédies, les innombrables victimes cumulées des attentats suivant ont banalisé, et dilué ce qu’on avait appelé encore plus tôt, l’Esprit de Charlie. Nous ne devrions pas nous voir souffrir dans nos coeurs et nos chairs pour être ensemble. Nous ne devrions pas à avoir peur pour aimer les couleurs de la République.
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