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Avant la Photo du Jour
>>>> Retour vers le Futur. Je ne peux pas encore le savoir mais Vauban m’a suivi pendant de nombreuses années. Blaye, les éclés, Bordeaux, la Rue Vauban, et même à Lille. Citadelle Vauban de Blaye. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
Carrousel 1880 dans le port de Royan. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>> Retour vers le Futur. Lycée Jaufré Rudel. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>> Retour vers le Futur. Blaye. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>> Retour vers le Futur.
PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>> Retour vers le Futur.
PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>> Retour vers le Futur.
PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>> Retour vers le Futur. Cécile. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
Petit matin givré dans le jardin de Papi et Mamie. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
J’adorai venir ici l’hiver. Personne. Plus personne. Mais le Kayoc, avec son billard qui donnait sur l’océan, lui était toujours ouvert. Quelques minutes dehors, quelques heures dedans… Et on rentrait. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave en 2005 a détruit et abimé beaucoup de mes anciennes pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>>> Retour vers le Futur. Montpellier, Mai 1993 Le lendemain, un grand classique, Grand Jeu dans les rues de Montpellier. Je suis dans l’équipe de Seb, Laurent, Claire. Y’a même Jody. Les autres, je ne m’en souviens plus. On croisera quand même, encore, la team de Fontainebleau en ville. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>>> Retour vers le Futur. Lacanau Océan, 23 Aout 1992. J’ai eu la mauvaise, mais alors, très mauvaise idée d’y retourner le jour des finales. Fini l’ambiance bon enfant, place aux kékés et aux bouchons. J’ai mis une heure pour faire les derniers kilomètres, j’ai même été obligé de me garer sur la place du marché, loin, trop loin… Et puis, une fois arrivé sur place, l’enfer comme un jour d’ouverture des soldes. J’ai regardé, les vagues, quelques rides, et je suis parti. L’ambiance du LSC n’était pas là. Pas d’envie, pas d’énergie, j’ai remis mon walk-man sur les oreilles et suis reparti vers la voiture. J’ai jamais été un grand fan de la foule, mais celle qui s’agglutine par 40 degrés sans ombre, devant un podium à attendre un lancé de tshirt, ça ne me fait pas trop frissonner. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak 400. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
>>>> Retour vers le Futur. Lacanau Océan, 19 Aout 1992. L’océan avait gagné nos vies, Laurent, Seb et ma pomme, entre bodyboard, surf, chars à voile ou encore skimboard pour certain. On habitait à 30 minutes du Porge ou de Lacanau. Avec des routes « secrètes » pour couper à travers la foret pour gagner 10 minutes, en passant par des villages comme Brach. Lacanau, c’était le temple, c’était aussi les plus chouettes souvenirs de vagues pas trop méchantes, belles et claires. Je n’ai jamais été effrayé par les creux de Lacanau. De nature, c’était pas immense. Pas comme la cote Basque, là bas c’était bien plus méchant.
L’hors-saison avait un gout particulier, y’avait que des locaux, ambiance cool. Le café « L’Hoya » qui restait ouvert tout l’hiver, surplombait la plage, il avait un beau billard, on y jouait souvent quand il faisait (trop) froid.
Les surfeurs sont des gens cools, mais les surfeurs de Lacanau sont toujours cools. Leur QG, c’était la promenade de la plage, ses boutiques, ses shapers et surtout vers l’école de surf. J’aimais bien rentrer dans l’eau à cet endroit.
Je me souviens avoir dépensé un paquet de fric dans des magazines, pour comprendre les techniques, et surtout pour baver sur des photos plus belles les unes que les autres. Certains avaient Hawaii en bas de chez eux, nous on avait : Lacanau Beach !
Le Lacanau-Pro, était (est) la compet’ de surf assez incontournables, les stars étaient là et les maitres aussi. Cette année là, j’y suis allé plusieurs fois, deux ou trois fois, poser mes fesses sur le sable, avec une bouteille de flotte, une casquette, des jumelles et mon vieux Konica. Je restais là des heures, l’océan me plaisait autant que de voir ces mecs faire ce que je ne savais pas faire. Parfois, des touristes égarés venaient perturber la compétition, en allant nager dans les baïnes… Les secours intervenaient toujours, l’héliport était juste derrière nous, et l’hélico se posait même à l’époque sur le parking de la plage, y’avait un immense « H », cet héliport de par son emplacement, me fascinait.
Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak 400. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>>> Retour vers le Futur. Donaueschingen, Allemagne, Juillet 1992. Le périple tchécoslovaque est déjà derrière nous. Ce fut une aventure un peu folle, qui restera j ‘espère dans nos mémoires. Je n’ai jamais réussi à remercier assez les parents de Seb pour ça, c’était génial de vivre ça, de le vivre comme l’a fait. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak 400. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>>> Retour vers le Futur. Tatras, Tchécoslovaquie, Juillet 1992. Depuis le début de cette aventure en Tchécoslovaquie, nous avons sur le tableau de bord du camion, le Guide du Routard. Qui, il faut l’avouer, nous a baratiné sur un paquet de trucs. Ca nous amuse beaucoup, Seb et moi, mais ses parents un peu moins. Par exemple, c’était écrit en gros, et presque en en-tête, que le sport national est: l’auto-stop ! Et on y a cru. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak 400. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>>> Retour vers le Futur. Tatras, Tchécoslovaquie, Juillet 1992. Première journée entière dans les Tatras. Le camping est grand, avec du monde, mais… il n’y a rien autour, pas de ville, pas un troquet, pas un 103 SPX, pas de magasin de guitares, pas de disquaire. Nous sommes bien donc au bout du Monde. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak 400. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
>>>> Retour vers le Futur. Est de la Tchécoslovaquie, Juillet 1992. On vient de passer Brno, et certainement la future frontière qui devra séparer dans quelques mois ce pays. L’Europe bouge encore. On vient donc de passer du coté Slovaque. On le sait, car on s’est arrété faire une pause pres d’une épicerie, il y a avait des pastèques, et le marchand avait deux sortes de pastèques, absolument identiques. Mais il nous a dit que la pastéque Slovaque était meilleure, l’autre était tchéque, et c’etait de la merde. C’était de l’humour bien sur. Il était plutot agréable et sympa. Sur cette route, le paysage devenait vraiment nouveau, c’est pas quelque chose qu’on connait chez nous. Seb et moi, on avait vu ça déjà un peu en Pologne. La Pologne, encore elle, se trouvait à quelques dizaines de kilomètres plus au Nord. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak 400. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
>>>> Retour vers le Futur. Prague, Tchécoslovaquie, Juillet 1992. C’était la dernière journée à Prague. Nous avons fait des achats « souvenirs ». Seb a acheté un chapeau à quatre bosses (chapeau de la police montée canadienne ou de scouts), des capodastres si mauvais, avec une attache en tissu, qu’ils n’ont dut servir qu’une fois, ou encore un range-médiator assez pratique (que j’ai toujours!!!). Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak 400. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
>>>> Retour vers le Futur. Prague, Tchécoslovaquie, Juillet 1992. Compagnon de toutes les fortunes et infortunes: Seb. Un frère, un camarade, un militant, fin, drôle, toujours juste, agile comme clown de cirque à faire pâlir plusieurs sportifs. Un tas de qualités, qui en faisait mon pote, un vrai comme on en a peu dans une vie. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak 400. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
>>>> Retour vers le Futur. Cracovie, Pologne, Octobre 1991. L’église Saint-Pierre et Saint-Paul. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak 400.
PS : ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
Cracovie, Pologne, Octobre 1991. C’est la seconde fois que je fais un séjour en Pologne, J’étais déjà venu à Cracovie, mais c’était durant la période soviétique, le mur n’était pas tombé. Je ne reconnais rien, pourtant 3 ou 4 ans se sont écoulés. Mais je ne… reconnais RIEN ! La première fois, je pense que tout ça, ça me passait au dessus. Cette fois ci, un peu moins, mais , ça ne me passionne pas non plus. Ce qui me frappe, c’est la différence de militaires. Là, on ne les voit plus dans les rues, alors qu’avant, ils étaient partout. PS : ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
>>>> Retour vers le Futur. Auschwitz, Pologne, Octobre 1991. Dernière étape de mon BAFA, mon stage de perfectionnement (option encadrement de séjours à l’étranger) a lieu en Pologne. Dans le cadre d’une demi journée thématique, passage obligé et recueillement au Camp de concentration de Birkenau-Auschwitz. C’est la deuxième fois que je m’y rends. C’est tout aussi effrayant. On a du mal à transposer ou à imaginer que quelques dizaines d’années auparavant, des humains y ont entassé d’autres humains, comme du bétail, pour les massacrer à la chaine. J’avais visiter aussi les reste du camp de Treblinka, mais là il ne restait que peu de chose. Or celui ci, est intact. J’ai pris très peu de photo. J’étais mal à l’aise au milieu de touristes qui parfois venaient là comme on vient à la foire du trône. J’ai retrouvé ce sentiment là (de gène photographique) bien plus tard, au lendemain du 11 Septembre à New York. Avec des touristes qui se prenaient en photo, entres eux, tous sourires, devant des décombres non déblayés. C’est peu comparable peut-être, mais pour moi, c’était tout aussi malsain. Et j’ai pas réussi à passé au delà. Je pense qu’aujourd’hui, j’aurai documenté celà, sans les touristes dans un premier temps, et puis en seconde phase, j’aurai voulu montré justement ce tourisme de l’horreur. Qu’on retrouve d’ailleurs à plein d’endroits sur la planète. Les catastrophes 2.0 sont à la mode. Il est important de se prendre pour un guerrier ou un survivant pour photographier l’horreur, tout en la dénonçant comme au café du commerce.
PS : ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>>> Retour vers le Futur. Ile de Ré, Mars 1991 Un long week-end de Mars, sur l’Ile de Ré. Avec la bande, ou plutot ce qu’il en reste… Seb, Laurent, Aurélie et moi. De temps en temps, Aurélie amène sa copine Carole. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>>> Retour vers le Futur. Blanquefort, Mars 1991 La Maison. Pas grand chose à commenter, j’avais tellement d’amertume à partir de cette maison. Je sais pas si c’était « tant mieux » ou « tant pis »… Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>>> Retour vers le Futur. Toujours à vélo, je prends l’air. Surtout ça me déconnecte d’un lycée et d’un enseignement en voie de garage que je supporte plus. Et dans lequel, je ne vois rien de bien, aucune perspective, pas d’avenir radieux ou de grands soirs.
>>>> Retour vers le Futur. Toujours à la recherche de documentations pour ma BD, il me fallait un camion d’assistance pour mon histoire. Cette camionnette Peugeot fera l’affaire, commune, facile à trouver pour reprendre des photos si il le faut. Je suis tout de même déçu de n’avoir pas assez documenté cette époque, la richesse en serait tellement grande et précieuse aujourd’hui. Pour moi en tout cas.
>>>> Retour vers le Futur. J’ai 16 ans. Je ne cours pas après les filles, j’ai d’ailleurs aucun succès avec elles, je me suis fait des raisons depuis longtemps. En revanche, je dessine, tout le temps, même la nuit. Et là, je bosse sur une BD que je ne finirai pas, comme les autres par ailleurs. C’est l’histoire de deux équipages, un peu fous, qui participent au Paris-Dakar en Citroen 2CV. Tous les coups sont permis, triches, sabotages, pièges à cons etc… Et donc, il me fallait de la doc sur la voiture. Le moyen le plus simple a été dans un premier temps d’aller prendre des photos , rapidement, discrètement, de la 2CV bleue des voisins. Mais je manquais d’angle, de perspectives différentes, de détails aussi. Alors, je prenais mon vélo, encore, et je me baladais avec l’appareil photo dans mon sac à dos. Ici, on sur le parking d’une résidence, devant le Parc de Fongravey. Je vois cette belle 2CV, couleur sable, parfaite. Je ne me suis pas soucié de ce que les gens pouvaient penser je crois, et puis, apres une dizaine de clichés, je reprends mon vélo et la route. Pendant cette période, j’ai photographié un tas de voiture moches et ordinaires pour ce projet. Moches, c’était facile, car je ne voulais que des voitures françaises 😉
>>>> Retour vers le Futur. Varsovie, Pologne, Juillet 1989 Nous voilà arrivé, le lendemain à Varsovie. On est rincé par ces deux jours de train, parfois à allure d’escargot. Les dizaines de controles d’identité. La suspicion permanente des policiers et des controleurs. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
>>>> Retour vers le Futur. Berlin Est, Juillet 1989 Nous venons de traverser la France, d’abord Bordeaux-Paris, et puis un changement qui nous emmènera vers l’Est. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. >>>> Retour vers le Futur. Pessac, Juillet 1989 Une autre passion dévorante de mon adolescence, le modélisme. J’ai commencé par un modele de la marque japonaise Tamiya, le Thunder Shot, un quatre roue motrice facile à entretenir, simple et amusant. Je suis passé ensuite à des modèles de compétition, car je voulais faire des courses. Avec ma premiere voiture rapide, la Tamiya Astute 4×2. Puis quelques années plus tard, la fabuleuse Traxxas TRX-1, que j’ai encore dans un carton quelque part, avec une autre voiture de piste cette fois, à transmission intégrale, un Yokomo. Ca a été dévorant. Mon argent de poche y passait allégrement. Au moins, je ne le dépensais pas dans des bétises, c’est ce que je me dis aujourd’hui. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être.
>>>> Retour vers le Futur. Base Aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac, Juillet 1989 Passion adolescente, parmi d’autres, les avions. J’ai tellement nourri celle-ci que même encore aujourd’hui, je peux reconnaitre quasiment n’importe quel avion de chasse. Parfois même le type ou la version. Konica Pop, 36mm F/4 , Kodak. PS : Ces films ont été numérisés trop tard, un dégât des eaux dans une cave a détruit et abimé beaucoup de ces pellicules. J’ai sauvé ce que j’ai pu. J’ai numérisé ce qui pouvait l’être. |
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